Retrouvez ce texte écrit par Erik Fontet et toutes nos analyses dans le prochain MultiMédia à la Une N°309 de février.
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Les semi-conducteurs, une industrie indispensable et ultraconcentrée
Les semi-conducteurs, que l’on retrouvent aussi bien dans les smartphones, les PC, les consoles, que désormais les voitures ou l’électroménager, sont les rouages aussi essentiels que méconnus de notre vie quotidienne. Ils sont évidemment le cœur de l’industrie high tech.
Et pourtant le marché des entreprises de fonderie de semi-conducteurs est aussi concentré que les potentiels clients nombreux.Les investissements étant tellement lourds que seuls quelques mastodontes peuvent exister.
Les chiffres de Trendforce le montre parfaitement. Résultat : les 10 plus grandes fonderies de semi-conducteurs représentent 98 % du chiffre d’affaires de l’ensemble du secteur. Le Taiwanais TSMC rafle, sur la période étudiée par Trendforce, à lui seul 60% du chiffre d’affaires et écrase la concurrence loin devant Samsung, GlobalFoundries ou UMC. Et c’est encore plus vrai en termes géographiques avec 3 géants de la Mer de Chine – Taiwan (70% du total), la Corée du Sud (13%) et la Chine (8%) – qui phagocytent le marché.
Ce qui n’est pas sans poser des problématiques d’approvisionnement et géopolitiques pour le Monde entier.
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Petite révolution au niveau du home Entertainment : pour la première fois en 12 ans, le chiffre d’affaires des vidéos (4,9 milliards de livres sterling) a dépassé celui des jeux vidéos (4,7 milliards de livres sterling) au Royaume-Uni en 2023. Le chiffre d’affaires des moyens physiques de visionner des vidéos a baissé de 18% pour l’achat pour arriver à une valeur de 169 millions de livres sterling et celle des visionnage digitaux a, elle, augmenté de 11,6%, jusqu’à 4,7 milliards de livres sterling. Cette forte croissance au niveau des vidéos digitales est due aux services de streaming comme Netflix, Amazon Prime Vidéo ou encore Apple TV qui ont énormément gagné en popularité, en particulier pendant le confinement. De son côté, la valeur des jeux vidéo sous forme physique a baissé de 4,4% pour arriver à 495 millions de livres sterling, quand celle des jeux digitaux progresse de 3,8% (4,2 milliards de livres sterling). Enfin, la valeur de la musique est également remontée, que ce soit sous forme physique (+10,9%, grâce au vinyle et pour la première fois depuis 20 ans du CD) ou digital (+40%).
Afin de satisfaire les nouveaux besoins des consommateurs, Samsung a créé de nouveaux types d’écrans à la fois intelligents et connectés capables, de manière autonome, d’être un hub pour l’Entertainment ou faire de la bureautique. Christopher Partridge, Product Manager Consumer Monitors chez Samsung Electronics France, nous présente ce concept disruptif.
Afin de satisfaire les nouveaux besoins des consommateurs, Samsung a créé de nouveaux types d’écrans à la fois intelligents et connectés capables, de manière autonome, d’être un hub pour l’Entertainment ou faire de la bureautique. Christopher Partridge, Product Manager Consumer Monitors chez Samsung Electronics France, nous présente ce concept disruptif.
Pourquoi avoir conçu des « smart monitors » ?
Avec la crise sanitaire, qui a accéléré des tendances sous-jacentes, les consommateurs se sont aperçus que le télétravail, les devoirs des enfants, le jeu vidéo et des services de streaming nécessitaient de nouveaux écrans plus polyvalents. Donc beaucoup ont investi sur des écrans de PC, mais qui ne répondaient pas forcément à tous leurs besoins réels. Nous pensons qu’il
faut de nouveaux types d’écrans pour satisfaire ces nouveaux besoins et qu’il faut raisonner non plus en termes de technologies mais d’usages. Nous avons donc choisi de créer des vrais écrans intelligents, fruits des prouesses de notre R&D, en implémentant des technologies existant chez Samsung.
Comment les consommateurs peuvent-ils utiliser ces écrans intelligents ?
Dotés de processeurs ainsi que du wifi et reliés au cloud, ces « smart monitors » sont capables de manière autonome de satisfaire l’immense majorité des besoins IT « classiques » d’un utilisateur. Ils peuvent être installés dans toutes les pièces (chambre, salon, chambre d’enfant ou même cuisine) comme écran principal, secondaire ou de substitution à une TV et être utilisés efficacement, pour du télétravail la journée, pour les devoirs des enfants en début de soirée et pour regarder une série le soir.
Comment fonctionnent-ils concrètement ?
Ces « smart monitors » permettent sans intermédiaire, via des applications dédiées integrées dans l’écran, de regarder du streaming vidéo ou la télévision (Netflix, Disney+, Amazon Prime, YouTube, OCS, Molotov…) mais aussi de surfer sur internet, de faire de la bureautique (puisqu’ils fonctionnent notamment avec Microsoft 365) ou de gérer la maison connectée. Ces écrans intelligents peuvent avec un connectique sans fil en wifi ou Bluetooth, se connecter à un smartphone, à un casque, à une télécommande, à une barre de son, à une souris, à un clavier ou aux objets connectés de la maison, mais aussi à toutes les « devices » filaires comme un ordinateur fixe ou portable et une console via le HDMI. Et ce tout en fonctionnant avec des assistants vocaux (Alexa, Assistant Google…) ou des applications comme AirPlay 2, Smart Hub ou SmartThings.
Il faut une vraie inventivité pour innover dans le très concurrentiel marché des écrans. Ce concept disruptif peut donc changer la donne pour le secteur, via la création de nouveaux usages et le faire monter en valeur. Ces «smart monitors » doivent en conséquence nécessairement être montrés en magasin de manière didactique et interactive pour expliquer leur différence
fondamentale avec un écran traditionnel. Nous vous proposons (également) un pack PLV qui vous permettra de mettre en avant le produit en magasin. Ce pack est composé d’un Topper, un Side pop, et d’un support pour la télécommande du Smart monitor. Afin de bénéficier de ce pack, n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse mail suivante : smartmonitor@samsung.fr
Comment se décline la gamme ?
Le concept est décliné en deux grandes séries : les M5 (27 et 32 pouces full HD) et M7 (32 pouces, UHD 4K avec de l’USB-C en plus). Et ce avec des prix tout à fait raisonnables : 249 euros pour le M5 27 pouces, 399 euros pour le M7 32 pouces… Des nouveautés vont étoffer les gammes comme cet hiver un M5 27 pouces blanc ou un M7 en 43 pouces.
L’ esport un écosystème toujours à la hausse
Le hardware esport confirme année après année son rôle de formidable générateur de marges et de chiffre d’affaires. Et il progresse toujours. De quoi assurer a priori des lendemains qui chantent.
Ubisoft veut continuer à grandir et innover
Ubisoft a dépassé pour la première fois la barre des 2 milliards d’euros. John Parkes, DG d’Ubisoft France, nous fait part de ses réflexions sur l’avenir de sa société et de l’écosystème vidéoludique.
Disney s’apprête à rugir en fin d’année
Disney a de quoi se frotter les mains. L’éditeur dispose en effet du catalogue le plus solide de la fin 2019 avec des titres comme Aladdin, Toy Story 4 et surtout Le Roi Lion. Interview de David Lamoine, directeur Home Entertainment France & Benelux de The Walt Disney Company.
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Année après année, la Paris Games Week propose de nouveaux concepts. Au menu, en 2018, des stands d’acteurs toujours plus nombreux (223 acteurs, un record), 316 000 visiteurs, 80 000 m2 de surface, du cosplay, des spectateurs attentifs, des grandes compétitions esport, un concert de musique de jeu vidéo… Tour en photos des principaux événements de la Paris Games Week.
Source photos : SELL
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Année après année, la Paris Games Week propose de nouveaux concepts. Au menu, en 2018, des stands d’acteurs toujours plus nombreux (223 acteurs, un record), 316 000 visiteurs, 80 000 m2 de surface, du cosplay, des spectateurs attentifs, des grandes compétitions esport, un concert de musique de jeu vidéo… Tour en photos des principaux événements de la Paris Games Week.
Dossier : Les nouveaux usages de l’internaute
Chaque année, Médiamétrie dresse un paysage complet des usages des Français sur Internet. L’année 2016 a été marquée par la montée en puissance irrémédiable du mobile et des réseaux sociaux, devenus un passage obligé pour les marques et les grandes enseignes de la distribution.
Le Labo Fnac sort de l’ombre…
Les fameux guides d’achats du laboratoire d’essai de la Fnac ont laissé place à une version online. La Fnac a lancé un nouveau site baptisé LaboFnac, qui réunit news hi-tech, guides d’achat et tests complets, réalisés par les experts du Labo Fnac. Lionel Jarlan, directeur du laboratoire Fnac, nous explique la démarche.
Clic clac revoilà Kodak
La marque Kodak fait son grand retour en France grâce à la société Kaps France, nouveau distributeur des produits en France. Cartouches d’imprimantes jet d’encre et laser, papier photo mais aussi les piles électriques seront disponibles sous la marque Kodak.
La lumière bleue, ennemi du gamer
Face aux dangers de la lumière bleue, les constructeurs d’écrans et les fabricants de lunettes ont su réagir en proposant des solutions performantes. Revue d’effectif avec Acer, Asus, BenQ, Iiyama et AOC pour les écrans, Eyeblue, Gunnar et Konix pour les lunettes.
Et aussi : Chronologie des médias, Sony DADC Julie Chalmette, Koch Media, Toshiba Pro, Citel Vidéo, Injustice 2, Yo-Kai Watch 2…
Selon une étude réalisée par Médiamétrie pour le compte de l’Association de lutte contre la piraterie audiovisuelle (Alpa) et du CNC, près d’un internaute français sur 3 (30 %) a consulté au moins une fois par mois un site de piratage de films et séries TV (que ce soit en streaming, téléchargement direct ou P2P) en 2015, soit plus de 14 millions de Français contre 13,4 millions en 2014. Entre 2009 et 2015, la croissance des visiteurs de ces sites a ainsi progressé de 24,15 %. Selon l’étude, qui a mesuré l’utilisation de 371 sites pirates, le téléchargement par DDL a été particulièrement plébiscité en 2015, atteignant un record d’utilisateurs mensuels (7,67 millions), devant le P2P (5,8 millions) et le streaming (5,4 millions). On y apprend également que le téléchargement est davantage utilisé par les hommes (61 %), là où les femmes préfèrent le streaming (51,1 %). Sans surprise, les plus gros utilisateurs de ces sites sont les 34-49 ans (30,8 %) et les 25-34 ans (22,4 %). Leur profil social est plutôt élevé, 36,5 % des pirates étant des cadres CSP+ contre 30,9 % de CSP-, et 45,6 % disposant de revenus compris entre 27 000 et 54 000 euros par an. A noter, que les élèves et les étudiants ne représentent, au final, que 10 % de l’ensemble. Parmi, les films les plus piratés en 2015, on retrouve Jurassic World, La Famille Bélier, Taken 3 ou encore Mission Impossible – Rogue Nation. Côté séries, The Walking Dead et Game of Thrones arrivent en tête des séries le plus piratées en 2015.